
Congo Free State (1885-1908)
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The Congo Free State, also known as the independent State of the Congo, was a large state in Central Africa from 1885 to 1908. ruled by King Leopold II.
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Expo 1897 - Documentaire over de Koloniale afdeling van de wereldtentoonstelling van 1897
Belgian CongoDe wereldtentoonstelling van 1897 werd gehouden in het Brusselse Jubelpark en de naburige gemeente Tervuren. Het Bureau International des Expositions heeft de tentoonstelling achteraf erkend als de 12e universele wereldtentoonstelling. Aan de wereldtentoonstelling deden 27 landen mee. De inkomprijs bedroeg 1 Fr. Het evenement werd uiteindelijk door zo'n 7,8 miljoen mensen bezocht. Een apart onderdeel was de Koloniale tentoonstelling die in Tervuren werd gehouden in het speciaal hiervoor gebouwde Paleis der Koloniën. Dit stond helemaal in het teken van de Onafhankelijke Congostaat, waarmee België door een personele unie verbonden was door het gemeenschappelijk staatshoofd Leopold II. Een jaar later kreeg de tentoonstelling een definitief karakter en werd de collectie in een nieuw gebouw ondergebracht, het Koninklijk Museum voor Midden-Afrika. Het idee voor een koloniale tentoonstelling was niet nieuw. De Onafhankelijke Congostaat kwam reeds ruimschoots aan bod op de tentoonstelling in Antwerpen. Ditmaal wilde de kolonie-afdeling vooral inspelen op de publieke opinie tegenover de Congostaat. Voor de gelegenheid werden 270 Congolezen per schip naar Tervuren gebracht om er drie traditionele dorpen te bevolken. Samen met de tentoonstellingen in het paleis der koloniën moest dit de mensen een leerrijk inzicht geven in het leven van de Congo. Volg via: https://twitter.com/BasedCongo #Expo1897 #wereldtentoonstelling #Tervuren6 views -
Guerre Congo-Arabe: Quand le Héros National Général Jacques de Dixmude est entré dans l'histoire
Belgian CongoLe 4 mai 1878, le sous-lieutenant Jacques, sorti la veille de l'École militaire, entrait dans les cadres du 9e régiment de ligne. La vie de garnison à cette époque comportait pour le jeune officier bien des loisirs. Jacques les utilisa judicieusement, car dès qu'il eut atteint l'ancienneté d'officier requise, il se présenta devant le jury d'admission à l'École de Guerre où il fut admis. Trois ans après, le 7 décembre 1886, il obtenait son brevet d'adjoint d'état-major. Assuré dès lors de gravir avec aisance les échelons de la hiérarchie militaire, allait-il trouver dans les états-majors ou à la troupe un exutoire digne de l'activité que réclamait son tempérament ? Jacques dut en douter, car dès le lendemain, il offrait ses services à l'État Indépendant du Congo. Arrivé à Boma, il y est retenu et adjoint au Directeur des transports. Cependant, Jacques, qui rêvait d'épopées, aspirait à être envoyé dans le Haut ; ce n'est toutefois que le 24 août l888 qu'il obtient d'être mis à la disposition du commandant des territoires des Bangala. Le 16 octobre il débarquait à Nouvelle-Anvers, en même temps que Ponthier. Il y trouva l'Inspecteur d'Etat Roget, le capitaine Van Kerckhoven, les lieutenants Dhanis, Bia et Milz. On y préparait l'occupation systématique de la région en amont, jusqu'aux Falls, et la création du camp de Basoko ; les projets et préparatifs étaient fort poussés, car l'avant-garde de l'expédition put partir le 25. Elle était commandée par Dhanis, assisté de Bia, Ponthier et Milz ; le gros de l'expédition suivit sous les ordres de Van Kerckhoven, accompagné de Jacques. On fonda quelques postes, notamment Yambinga (1.1.1889), puis on atteignit Basoko, où, immédiatement, furent entrepris les travaux d'édification du camp, dont le commandement fut confié à Ponthier, ayant Milz comme adjoint. En avril, Bia, désigné comme résident aux Falls, est relevé à Yambinga par Jacques, qui, peu après, est désigné pour prendre le commandement de Bumba. C’est là qu'il achèvera son premier terme de service, laborieux mais fécond en résultats. En cette année 1890, le sentiment public belge avait été fortement remué par la propagande antiesclavagiste ; le cardinal Lavigerie, le grand apôtre africain, avait demandé à la Belgique cent hommes et un million pour entreprendre une œuvre de Croisé : la lutte effective contre les trafiquants d'esclaves. La Société Antiesclavagiste de Belgique, assurée des plus grands appuis, avait décidé d'organiser une expédition militaire dont l'objectif était de mettre les populations indigènes du Congo à l'abri des razzias pratiquées par les trafiquants et, dans ce but, de s’installer sur leurs lignes d'opérations, au Tanganyika. Il fallait donc reprendre les routes ouvertes par les Crespel, les Cambier, les Popelin, etc. et occuper le Tanganyika. Le 19 février 1891, il est remis à la disposition du Roi et, avec le concours du capitaine Storms, dont l'expérience en la matière est précieuse, il organise l'expédition. La situation sur le Tanganyika était difficile et périlleuse : Rumaliza, Arabe d’Udjidji, opérant avec l'argent et les ressources qui lui sont fournis par Tippo-Tip y était tout-puissant ; ses trafiquants sillonnaient le pays, capturant les populations, détruisant par le fer et le feu ce qu'ils n'emmenaient pas. La terreur qu'il inspirait aux populations étouffait chez elles toute velléité de révolte contre cette atroce tyrannie. Et cependant, fin 1891, l'infiltration progressive des agents de 1'E.I.C. vers la région orientale et la présence de Jacques sur le Tanganyika inquiétaient les grands négriers. Ce sentiment devait les déterminer à jeter bas le masque et à adopter une attitude nettement hostile, à entrer en lutte ouverte contre les agents de la civilisation dont ils sous-estimaient d'ailleurs la puissance. La campagne arabe s'amorçait : dans le Nord, Ponthier détruisait une de leurs bandes ; plus au Sud, Dhanis allait entrer en ligne. Les efforts conjugués des soldats de la civilisation allaient aboutir, après une longue et dure campagne, à détruire la puissance arabe ; la participation de Jacques à cette victoire sera brillante. En effet, après s'être concerté avec le capitaine Joubert et avoir obtenu des Pères Blancs les moyens nécessaires, Jacques se met à explorer la rive occidentale du lac pour y découvrir une position stratégique, c’est-à-dire un point à l'abri des coups de main, d’où il pourra surveiller les allées et venues des caravanes sur le lac et intervenir. Il est amené ainsi à fonder Albertville. Le 3 janvier 1892, son « boma », c'est-à-dire son réduit défensif, est construit ; fin du même mois les Européens avaient un toit pour s'abriter. Mais Albertville était moins une résidence que le centre d'où partaient les expéditions et que ralliaient les malheureux fuyants devant les bandes arabes. Suivre sur Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #AlphonseJacquesdeDixmude #ÉtatIndépendantDuCongo #Congobelge53 views -
Souvenirs du pionnier Belge 'Général Jacques de Dixmude' dans l'Etat Indépendant du Congo
Belgian CongoEn 2010, année du 50ème anniversaire de l'indépendance du Congo, Vielsalm a commémoré les nombreux habitants qui ont contribué au développement du pays en présence de l'Ambassadeur de la République Démocratique du Congo. Une plaque commémorative a également été inaugurée. Suivre sur Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #AlphonseJacquesdeDixmude #ÉtatIndépendantDuCongo #Congobelge3 views -
Prince Leopold III unveils National Monument to General Jacques du Dixmude (1930)
Belgian CongoJuly 7, 1930, Prince Leopold III unveils a Monument to General Jacques de Dixmude. General Jacques is known for having founded the town of Albertville (Today Kalemie) in 1892 as a military post against the Arab Slavers and then defeating them in 1893, during the Congo Arab War. Since 1930, General Baron Jacques de Dixmude has been gazing at the former front on the Grote Markt in Diksmuide. The bronze statue was cast by Alfred Courtens (1889-1967). It was converted into a monument, with a bluestone plinth and four corner statues, by his son Antoine Courtens. The official inauguration took place on 9 September 1930 in the presence of the Baron de Broqueville, then Minister of Defense. Jacques was initially active as a district commander in the independent Congo state, including in the fight against the slave trade. This is also apparent from the image of a negro slave and the mention of M'Pala 1892 on the pedestal of the statue. During the First World War, he was commander of the 12th Linieregiment (colonel) and, as deputy commander (general) of the Brigade Meiser, he defended the city of Diksmuide in the Battle of the Yser (October 1914). (Source: Stad Diksmuide) Technical description: Three-part hard stone plinth, the upper part of which narrows towards the top. On each corner of the pedestal is a statue: -front right a soldier in uniform with saber and flag; -front left a soldier in uniform with the rifle at rest; -back left : a bare-chested negro slave, with a clenched fist, the handcuffs still clamped around the wrist, in the other arm he carries a branch with fruit; -back right: a soldier with the rifle at rest, dressed in tropical costume. On the walls of the pedestal there are four memorial plaques between these figures. The bronze statue of General Jacques crowns this whole. He wears an army jacket, a helmet and a saber, while holding a pair of binoculars and looking into the distance. Follow on Twitter: https://twitter.com/BasedCongo #AlphonseJacquesdeDixmude #Albertville #CongoArabWar49 views