La solution pour sauver l’Afrique : le Patriarcat /Partie 2/

9 months ago

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Le cardinal Besungu parlait à l’Église catholique dans toute l’Afrique au cours d’un séminaire ce 29 novembre concernant la manière de façonner l’avenir synodal de l’Église en Afrique.
Pour bien comprendre le discours de Besungu, il faut d’abord clarifier les concepts de base, le but qu’il poursuit et les moyens qu’il utilise.
1) Qu’est-ce que le parcours synodal ? C’est une voie d’apostasie, d’abandon des vérités fondamentales du salut et de promotion de la sodomie LGBTQ sous la forme d’une soi-disant pastorale.
2) Qui est Bergoglio ? Bergoglio est un pape invalide, c’est-à-dire un usurpateur. Il s’est attiré des excommunications latae sententiae multiples pour les hérésies les plus graves qui détruisent les fondements de la foi et de la morale. Il est anathématisé par Dieu, excommunié de l’Église et maudit pour avoir prêché un anti-évangile sodomite (Gal 1, 8-9). De plus, il s’est consacré de manière provocatrice à Satan au Canada, en 2022. Selon l’enseignement de l’Église exprimé dans la bulle dogmatique Cum ex apostolatus officio, et selon le témoignage des Pères et des Docteurs de l’Église, celui qui s’est excommunié de l’Église ne peut en être le chef, et personne ne peut lui obéir ni s’y soumettre. Bergoglio s’est révélé être un archi-hérétique manifeste. Il peut être prouvé qu’il l’était avant même d’occuper la plus haute fonction. C’est pourquoi de nombreux théologiens concluent que son élection était invalide.
3) Qui est Besungu ? Fridolin Ambongo Besungu est l’un des neuf plus proches collaborateurs du pseudo-pape Bergoglio dans le parcours dit synodal, dont le principal agenda consiste à promouvoir la sodomie LGBTQ. En conséquence de cette activité, Besungu est soumis à la punition la plus sévère de l’Église, l’excommunication latae sententiae, et aussi à la punition la plus sévère de Dieu, l’anathème, pour avoir prêché un anti-évangile sodomite, c’est-à-dire pour apostasie.
Le Code de droit canonique stipule :
Canon 1364 : Un apostat de la foi, un hérétique encourt une excommunication latae sententiae...
Canon 751 : L’apostasie est la répudiation totale de la foi chrétienne.
La déclaration Fiducia supplicans, qui est une partie essentielle du parcours synodal, nie l’un des péchés les plus graves, la sodomie. Elle nie pratiquement le péché en tant que tel et empêche la repentance salvifique et le salut des âmes. En même temps, elle boycotte la mort rédemptrice du Christ sur la croix pour nos péchés, et donc l’essence de la foi divine et catholique. Le cardinal Ambongo Besungu est donc passible de la peine latae sententiae pour apostasie, ou pour avoir abandonné la foi catholique.
4) Quel est l’objectif de Besungu ? Quelles méthodes utilise-t-il ?
Besungu abuse de l’autorité de l’Église afin de faire avancer le parcours synodal, la légalisation par l’Église et l’État de l’immoralité LGBTQ en Afrique. Quelles méthodes utilise-t-il ? L’intrigue, la manipulation, la tromperie.
Article des médias : « Au cours d’un webinaire ce 29 novembre, les principaux dirigeants de l’Église africaine ont réfléchi à la mise en œuvre des idées du Synode et à la façon de donner forme à l’avenir synodal de l’Église en Afrique ».
Dans son discours, Besungu a révélé son intention de mettre en œuvre la synodalité de Bergoglio en Afrique. Il veut mettre en pratique son programme, qui est en fait la diabolisation de l’Église et la perturbation de la société par la légalisation des LGBTQ. Cela doit être réalisé par la mise en œuvre secrète de l’idéologie du genre qui se traduit par le vol d’enfants provenant de bonnes familles et le changement de sexe. Besungu utilise trois moyens afin d’atteindre son objectif :
1) la féminisation, qui a déjà provoqué la désintégration totale de la société et la perte des valeurs chrétiennes en Occident.
2) la manipulation d’étudiants influencés par les smartphones et l’idéologie mondialiste, en particulier ceux qui étudient dans les pays du nord de l’Afrique. Ce sont ces étudiants qui doivent devenir le véhicule de cette révolution en introduisant des courants perturbateurs et en empoisonnant la société, en détruisant les fondements moraux et en apportant une malédiction sur les nations africaines. Besungu cherche donc à supprimer l’autorité des anciens qui protège la jeunesse en s’en tenant à des principes moraux sains.
3) les groupes dits vulnérables constituent le troisième moyen d’autodestruction. En fait, la méthode manipulatrice consistant à « susciter la sympathie » est utilisée afin d’imposer une dictature homosexuelle, et afin de démoraliser la société par le biais des LGBTQ.
Citation de Besungu : « Dans nos cultures traditionnelles en Afrique, une femme a toujours été considérée comme étant une personne qui doit s’occuper du foyer, c’est un bon rôle. Mais le synode nous dit que non, que nous sommes tous égaux ».
Prendre soin du foyer et élever les enfants n’est pas seulement un bon rôle pour une femme, mais c’est un rôle naturel qui aide à construire une famille chrétienne traditionnelle. Ici, la femme est le cœur et l’homme est la tête. Cela ne dégrade en rien la femme ; au contraire, chacun a un service irremplaçable dans la famille pour lequel il ou elle possède une disposition naturelle et donnée par Dieu. L’apôtre Paul souligne clairement l’égalité de l’homme et de la femme devant Dieu, mais il souligne également l’autorité de l’homme au sein de la famille. L’expérience douloureuse de la décadence de la civilisation occidentale montre que la féminisation conduit à l’effondrement de la famille et, par conséquent, d’une société saine. C’est précisément ce que le parcours synodal de Besungu et de Bergoglio tente d’accomplir.
La tragi-comédie est qu’il existe déjà des lois, au sein de l’Union européenne, qui donnent aux hommes le droit d’avoir des enfants dans le cadre de l’égalité des droits. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’une femme malade mentale qui se déclare homme conformément à l’idéologie du genre, a le soi-disant droit d’avoir des enfants. Une législation folle introduit une folie officielle dans toute l’Union européenne. À quoi conduit cette soi-disant égalité ? À la folie, à la stupidité et à la dégradation totale de la société. C’est là l’avenir synodal qu’Ambongo Besungu promeut secrètement en Afrique.
Citation de Besungu : « Dans l’Église, il y a une certaine mentalité qui dit qu’un homme est toujours placé en premier. Si vous prenez ces deux facteurs, la culture africaine qui défavorise la femme et une certaine mentalité au sein de l’Eglise qui a toujours donné le premier rôle à l’homme, naturellement, la femme africaine est doublement défavorisée ».
Quant à l’existence d’une certaine mentalité au sein de l’Eglise, comme le dit Besungu, elle est naturelle et non un stéréotype dépassé, comme le prétend l’idéologie du genre. La mentalité qui voit l’homme en tant que chef de famille fait partie de l’ordre de Dieu.
L’Apôtre dit : « Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l'homme est le chef de la femme » (1Co 11, 3). Tout ce que Dieu a ordonné est bon. Il est donc bon qu’une femme soit protégée et qu’elle crée un environnement familial heureux. Cependant, Ambongo Besungu nie à la fois les facteurs naturels et divins dans la relation entre l’homme et la femme. L’idée supposée que la femme soit désavantagée constitue une raison artificielle visant à perturber l’ordre divin.
De cette manière, Besungu prouve son implication dans une rébellion synodale contre Dieu qui est en phase avec l’ordre du jour mondialiste. Son outil est la féminisation et la diabolisation subséquente à travers la légalisation des perversions LGBTQ. Les fruits de la féminisation comprennent des femmes qui ne veulent pas avoir d’enfants, l’augmentation des taux d’avortement, la baisse des taux de natalité, l’éclatement des familles, les enfants sans abri qui deviennent des épaves humaines, tout cela dans le cadre d’un plan de dépopulation. C’est l’avenir synodal de l’Église en Afrique que Besungu promeut de façon insidieuse. Il s’agit, en fait, de la politique globaliste du Nouvel Ordre Mondial sous le couvert d’une Église synodale, cherchant à détruire la famille, à démoraliser la société et à promouvoir l’euthanasie de masse, les vaccinations nocives et autres moyens d’exterminer l’humanité.
Article des médias : « Le président de la SECAM a souligné la nécessité de réévaluer les relations en Afrique, en se concentrant sur l’égalité des sexes et les rôles sociétaux, et a plaidé pour un respect et des opportunités égaux pour les hommes et les femmes, fondés sur l’égalité baptismale de tous les peuples ».
Le slogan de l’égalité des sexes, des rôles sociétaux et de l’égalité des chances est utilisé par les mondialistes partout où ils veulent introduire l’idéologie du genre dans la loi. La soi-disant élimination des stéréotypes, c’est-à-dire des relations morales et humaines naturelles, vise à briser les familles et à créer de nouvelles pseudo-familles d’homosexuels ou de lesbiennes, pour lesquelles le système de justice pour mineurs vole ensuite les enfants en vertu de cette nouvelle législation. C’est l’intention de Besungu avec l’Afrique. Ce menteur et manipulateur professionnel, Besungu, ajoute délibérément la remarque selon laquelle cette propagande antichrétienne sur le genre est fondée sur l’égalité baptismale. Il combine deux opposés irréconciliables uniquement afin de tromper les évêques et, par conséquent, les catholiques africains.
Quelle est la solution pour sauver l’Afrique ? Les évêques devraient se séparer de l’usurpateur de la papauté, Bergoglio, et de son laquais Besungu, puis proclamer un patriarcat séparé pour l’Afrique.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 8 décembre 2024

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