La solution pour sauver l’Afrique : le Patriarcat /Partie 4/

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Dans cette quatrième partie, nous poursuivons l’analyse du webinaire organisé par le cardinal Besungu le 29 novembre 2024 pour l’Église catholique dans toute l’Afrique. Le thème était : façonner l’avenir synodal de l’Église en Afrique.
Citation de Besungu : « Je peux vous dire que nous avons déjà commencé à analyser le type de relations qui doivent désormais exister entre nous et les Églises du Nord, mais aussi entre les Conférences épiscopales africaines ».
On comprend clairement ce que veut dire Besungu lorsqu’il parle du type de relations qui doivent désormais exister entre l’Afrique et les Églises du nord. Les Églises des pays du nord comme l’Allemagne ou la Belgique, contrairement à l’Afrique, ont accueilli avec enthousiasme la déclaration Fiducia supplicans suicidaire. Le type de relations qui doit désormais exister, comme le soutient Besungu, consiste à créer progressivement une unité spirituelle entre les Églises africaines et l’apostasie décadente de l’Église d’Europe occidentale, c’est-à-dire du nord.
Il n’est un secret pour personne que l’Église du nord, sous le pseudo-pape Bergoglio, se languit d’une profonde apostasie. Par exemple, la Conférence épiscopale de Belgique a même approuvé le rite liturgique du mariage pour les couples gays et queers, c’est-à-dire un couple composé d’un homme et d’une chèvre, ou d’une femme et d’un chien. Il s’agit d’une rébellion ouverte contre Dieu et d’une perte de bon sens, littéralement idiote. Quant à la Conférence épiscopale allemande, elle met en place des conseils synodaux dotés des plus hauts pouvoirs. En fait, c’est ainsi que les homosexuels et les lesbiennes prennent la direction de l’Église à la place des évêques. Le cardinal Müller a déclaré que le christianisme en Allemagne s’évaporerait, c’est-à-dire disparaîtrait. Il serait remplacé par le néo-paganisme et le satanisme. Besungu ouvre la porte à un avenir suicidaire pour l’Afrique.
Citation de Besungu : « C’est pourquoi vous me voyez souvent aller à telle ou telle conférence afin que nous puissions, entre églises locales, analyser la façon dont nous pouvons travailler ensemble ».
Par sa présence aux conférences, Besungu apporte un esprit de décadence. Il analyse qui appartient aux évêques zélés et qui appartient aux évêques craintifs afin de sélectionner parmi eux des collaborateurs appropriés qu’il peut manipuler. La solution est que Besungu ne soit plus autorisé à assister aux réunions des conférences épiscopales. S’il vient effrontément, qu’un des laïcs lui demande de partir, et s’il ne part pas, que trois laïcs le fassent sortir.
Bergoglio est un hérétique public et est excommunié et anathématisé de l’Église. Les évêques, en tant que successeurs des apôtres, ont le devoir de se séparer du pseudo-pape hérétique. De la même manière, ils sont obligés de se séparer de l’apostat Besungu, qui est également sujet à la fois à l’excommunication et à l’anathème. Besungu n’est pas un serviteur du Christ, mais de l’antéchrist. Cela est prouvé par son activité pernicieuse. Il doit donc être rejeté par toutes les conférences épiscopales africaines.
Article des médias : « Le cardinal Besungu a souligné l’importance de la relation de l’Église africaine avec le Saint-Siège, insistant sur le fait que cette relation « ne doit plus exister comme avant » ».
Que signifie le fait que la relation de l’Église africaine avec le Saint-Siège ne doive plus exister comme avant ? Besungu fait ici référence au rejet de la Fiducia supplicans. Il souligne donc délibérément la prétendue importance de la relation de l’Église africaine avec le Saint-Siège.
Mais il passe sous silence le fait fondamental que le Saint-Siège est désormais occupé par un hérétique manifeste qui, selon l’enseignement catholique, est automatiquement excommunié de l’Église. Tous ses décrets et ses déclarations sont nuls et non avenus, et personne ne peut lui obéir ni s’y soumettre. Quiconque se soumet à lui rejoint sa rébellion contre Dieu et s’attire l’excommunication et l’anathème de Dieu.
L’exigence de Besungu selon laquelle la relation avec le Saint-Siège ne doit plus exister comme avant signifie que les évêques africains ne doivent plus obéir à Dieu et à Ses lois comme avant, mais doivent obéir à l’archi-hérétique Bergoglio et s’engager aveuglément sur le chemin de l’autodestruction de l’Église. Sous le diktat de Besungu, ils doivent accepter la déclaration Fiducia supplicans suicidaire, et attirer sur eux l’anathème de Dieu. C’est vraiment le diktat du diable.
Besungu : « Pour nous, Africains, c’est très important. C’est notre responsabilité. Si nous voulons être pris au sérieux, nous devons aussi adopter un comportement cohérent ».
Qu’est-ce qui est important pour les Africains, selon Besungu ? Qui devrait les prendre au sérieux – Dieu, les chrétiens orthodoxes ou les traîtres au Christ qui occupent la papauté et promeuvent l’idéologie du genre et la voie de la perdition ? Que signifie adopter un comportement cohérent à cet égard ? Trahir systématiquement le Christ et se diriger ainsi systématiquement vers la damnation éternelle ? Est-ce là la cohérence à laquelle Besungu veut en venir ?
L’ancien nonce aux États-Unis, l’archevêque C. M. Viganò, a déclaré : « Tout, dans les paroles et les actions de l’Église synodale, est un mensonge… Il est évident que le but ultime que Bergoglio s’est fixé est de détruire l’Église catholique… Il est désormais du devoir de chaque successeur des apôtres (c’est-à-dire de chaque évêque) de dénoncer cette farce synodale,… par laquelle l’Épouse de l’Agneau a été remplacée par la Prostituée de Babylone qui est soumise au Nouvel Ordre Mondial ».
Citation de Besungu : « C’est pourquoi je dis que le synode sur la synodalité est un kairos (un moment propice) pour un nouvel avenir pour notre Église africaine ».
Le synode sur la synodalité est le suicide moral, spirituel et physique de l’Afrique. L’avenir esquissé par Besungu n’est pas le paradis, mais l’enfer. Mais Besungu le cache.
Citation de Besungu : « Le synode est un vaste projet pour nous en Afrique, que ce soit pour la vie des diocèses, pour la vie des congrégations ou pour la vie de tous les fidèles laïcs ».
Il s’agit certainement d’un vaste projet visant à détruire la vie des diocèses, à détruire la vie des congrégations et la vie de tous les fidèles laïcs.
Citation de Besungu : « Prenons courage et relevons ce défi avec espoir pour l’avenir et l’avenir d’une Église africaine vraiment responsable et vraiment synodale ».
Oui, chers évêques, prenez courage et faites face à la vérité : Bergoglio est un usurpateur de la papauté et, avec Besungu, il est excommunié de l'Église. Il est placé sous le sceau de l’excommunication et de l’anathème. Quelle est la solution afin de sauver l'Afrique ? Les évêques doivent se séparer de l'usurpateur de la papauté, Bergoglio, et de son laquais, Besungu. Qu'ils déclarent un patriarcat séparé pour l'Afrique. C'est là le véritable défi doté d’un espoir pour l'avenir, et l'avenir d'une Église africaine vraiment responsable et en aucun cas synodale.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Evêques secrétaires

Le 8 décembre 2024