Publication de l'excommunication et de l'anathème divin à l’encontre des responsables moraves Mgr. Josef Nuzík et Mgr. Pavel Konzbul, ainsi que sept prêtres

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Par l'autorité du Dieu trinitaire, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, et par l'autorité de la fonction apostolique et prophétique, je publie par la présente l'excommunication et l'anathème divin à l’encontre de l'archevêque Josef Nuzík et de l'évêque Pavel Konzbul. Leur crime contre Dieu est injustifiable. Il n'est pas caché, mais connu de tous, et ne peut donc être nié.
Le 15 mars 2025, l'église de pèlerinage de Notre-Dame des Douleurs de Sloup a été grossièrement profanée par un pèlerinage LGBTQ blasphématoire. En réalité, cet événement a marqué une étape décisive, ouvrant la porte au cœur même de l'Église catholique et de la nation tout entière à tous les démons queers impurs. Si l'église avait été profanée par des satanistes lors d'une prétendue messe noire, personne n'aurait douté de sa profanation. Mais ici, l'église a été profanée par un événement révolutionnaire qui a ouvert la porte à l'esprit satanique, avec toutes ses légions de démons impurs, au cœur de l'Église catholique et au cœur de la nation. Ce crime organisé a un impact bien plus grave sur le monde spirituel que les actions privées des satanistes. En effet, la légalisation ecclésiastique publique du péché abominable de sodomie, pour lequel Dieu menace du feu temporel et éternel (2P 2,6, Jude 7), a brisé la barrière morale de la loi divine qui assurait la protection contre la propagation massive de l'épidémie sodomite. Ce soi-disant pèlerinage a marqué une rupture décisive pour la voie sodomite par rapport à la voie du salut du Christ. Il a été facilité par l'abus flagrant de l'autorité ecclésiastique et l'abus de l'Eucharistie par sept prêtres qui ont activement participé à ce crime révolutionnaire. Leur objectif, et celui des deux responsables moraves, Nuzík et Konzbul, consistait à changer l'opinion publique afin que le péché de sodomie ne soit plus un péché. Il n'est même plus permis de s'en repentir ! Par ce geste hérétique, qui niait l'essence non seulement de la morale ecclésiastique, mais aussi humaine, les fidèles furent trompés et Notre Seigneur Jésus-Christ se fit publiquement cracher dessus. Ses souffrances et Sa mort rédemptrice furent de facto déclarées vaines. Pourquoi ? Parce que cette hérésie morale prétend que la sodomie n'est plus un péché qui crie vers le ciel et, par là même, nie d'autres péchés, et pas seulement dans la sphère morale. C'est par le fait même une rébellion contre Dieu le Créateur, une moquerie de notre Sauveur et un péché commis contre le Saint-Esprit. C'est un rejet de la mort expiatoire du Christ, seul moyen de salut ! C'est un crime et un déshonneur plus graves que ceux commis par les criminels publics et les satanistes ! Car un homme honnête se tient à distance de telles personnes. Mais voici les soi-disant apôtres du Christ, en habit ecclésiastique et la mitre sur la tête, qui ont abusé de l'autorité divine directement contre Dieu. Ils entraînent massivement les fidèles sur le chemin de la destruction. Même les satanistes de tout le continent n'ont pas accompli une mission aussi fructueuse pour Satan que les évêques moraves Nuzík et Konzbul ! Cet outrage terrible et cet abus d'autorité constituent une rébellion publique contre Dieu. C'est aussi un péché commis contre le Saint-Esprit, car ils ont tout planifié délibérément. Les deux évêques ont été mis en garde contre ce grave crime. Mais, au contraire, ils ont, délibérément et cyniquement, donné leur bénédiction à cette percée satanique au cœur du Corps mystique du Christ : l'Église de Moravie.
De plus, après cette profanation de l'église de pèlerinage de Notre-Dame des Douleurs à Sloup, les croyants ne reçoivent plus de bénédictions de ce lieu. L'église doit être reconsacrée.
Bien pire encore est la profanation du temple spirituel de l'Église morave, héritière des saints Cyrille et Méthode. Je le répète : la responsabilité principale de ce crime incombe à deux Judas de l'Église, Josef Nuzík et Pavel Konzbul. En approuvant et en célébrant cet événement blasphématoire, ces deux prélats se sont attiré la plus lourde peine ecclésiastique : l'excommunication latae sententiae et l'anathème divin pour avoir promu un anti-évangile sodomite. L'Écriture nous avertit : « Si quelqu'un, fût-ce un ange du ciel, prêche un autre anti-évangile – sodomite –, qu'il soit anathème – expulsé » (cf. Ga 1, 8-9).
Que comporte cette punition extrêmement sévère ? Les deux responsables se sont excommuniés de l'Église catholique et n'en sont plus membres. Le fait qu'ils continuent effrontément et obstinément à exercer leurs fonctions au sein de l'Église et à œuvrer à sa destruction n'y change rien. Les sacrements qu'ils administrent sont invalides ; ils ne sont qu'un spectacle pieux. En particulier, les Saints Ordres qu'ils confèrent sont nuls et non avenus. Le sacrement de confirmation qu'ils administrent est invalide devant Dieu. Il en va de même pour la sainte messe et le sacrement de la réconciliation.
La punition de l'anathème divin et ses conséquences tombe également sur les sept prêtres sodomites impénitents et endurcis. Ils ont sciemment participé à cette percée et à cette rébellion contre Dieu, abusant de la concélébration de la messe. Si ces prêtres et ces deux évêques apostats ne se repentent pas et meurent dans leur endurcissement de cœur, ils seront damnés pour l’éternité.
Que doivent faire les prêtres, les religieux et les fidèles de la Moravie catholique ?
Cette punition de l'anathème les lie en conscience. Les prêtres et les fidèles doivent en tirer les conclusions par eux-mêmes.
Le but de notre vie chrétienne consiste à sauver notre âme immortelle, c'est-à-dire d'atteindre la vie éternelle. Cela exige nécessairement une véritable repentance, et non une persistance délibérée dans la rébellion contre Dieu en se livrant à des jeux religieux hypocrites comme se prosterner pieds nus ou autres ruses cléricales similaires. Les paroles de Jésus sont claires : « A moins que vous ne vous repentiez, vous périrez tous ! » (Lc 13, 3).

Anathème publié par
+ Élie

Le 25 mars 2025