04.11.2021 - Pascal: le début d’un calvaire !

Bonjour à tous! Pascal, magasinier cariste à l'usine en Charente-Maritime a trois filles en bas âge. Elles ne vont plus à l'école depuis maintenant huit mois parce que Pascal et son épouse ont exercé ce qu'on appelle aujourd'hui le droit de retrait. Comme beaucoup, cette famille n'a plus du tout confiance dans les institutions, et notamment en l'Éducation nationale, plus confiance du tout à l'école ! Lorsque l'état a fermé l'école, on a dû accepter sans broncher et maintenant si nous voulons sortir les enfants de l'école, on nous en empêche! Tenez vous bien, les seules sorties prévues aujourd'hui par l'école, sont les camps de vaccination ! Cette famille essaie d'éduquer courageusement leurs enfants par eux mêmes. Financièrement, on imagine, c'est extrêmement compliqué, la seule chose qui leur reste, c'est la force ! Quant à leur refus d'accepter l'instruction à l'école, ils ont reçu, tenez vous bien, la visite surprise des gendarmes ! C'était hier soir, à 18 heures, avec une lettre de notification par le juge des enfants et un procès verbal à la clé. Les gendarmes avaient des caméras accrochées partout sur le devant de leur gilet pare balles. Les gendarmes ont été alors rabroué, on les a chassé, dit Pascal. Coups, insultes ? Non, il n'y en a pas eu, mais ils vont revenir, c'est sûr, dit il. Il s'attend à un retour musclé de ces gendarmes. Il ne sait pas quoi faire, aujourd'hui, il est perdu. Les enfants ont assisté, à l'incident vraiment de façon dramatique. Cette famille qui vivait tranquille dans son coin plaide pour ce droit de retrait et estime qu'il y a danger potentiel avec le port du masque et toute la psychose ambiante à l'école. Aujourd'hui cette famille se retrouve dans une situation impossible, elle s'est sentie harcelée, violée. "On aurait pu nous envoyer un recommandé pourquoi venir chez nous ?" Le danger pour lui, c'est que les gendarmes viennent les embarquer un matin à 8 heures. Mais ils ripostent, car ils estiment que c'est de leur légitime défense. En conclusion, je lui demandais de raison garder et de prendre contact avec un avocat. J'ai même du mal à vous en parler ! Que feriez-vous à sa place ? Comment peut on l'aider, lui et sa famille?